Danse en Sicile :
première prise de vue vidéo avec l'appareil
Canon EOS R6

Serpentant à travers les colonnes d'un ancien temple, une ballerine est éclairée par à la lumière de l'aube naissante, sa robe fluide mise en valeur par les ombres de la colonnade en ruines. La scène marque le début d'un voyage à travers le nord-ouest de la Sicile, capturé par le cinéaste espagnol et ambassadeur Canon Javier Cortés sur l'appareil Canon EOS R6 hybride plein format.

« Réaliser des films a le pouvoir de vous faire voyager », déclare Javier, qui réalise des vidéos et des photos pour des marques de mode haut de gamme et des publications éditoriales, notamment Vogue et Harper's Bazaar. « Mon objectif était de parvenir à saisir la fluidité du corps des danseurs, la sensation de force. »

Grâce à la plage dynamique extra-large procurée par Canon Log, au stabilisateur d'image offrant jusqu'à 8 vitesses,¹, à la vidéo 4K jusqu'à 60p et à la prise en charge de l'enregistrement interne 10 bits YCbCr 4:2:2, l'appareil Canon EOS R6, dernier modèle de la gamme d'appareils photo Canon du système EOS R, est un fantastique outil de tournage. Du temple au théâtre, des pavés au palais, Javier l'a mis à l'épreuve, en réalisant des séquences cinématographiques à l'aide de cet outil de travail hybride plein format à toute épreuve.

Dans le cadre de ses projets commerciaux, Javier collabore souvent avec de grandes équipes, mais il a profité de l'occasion pour revenir à ses racines en travaillant seul. « J'ai l'habitude d'avoir de larges équipes autour de moi, mais je suis revenu ici pour travailler uniquement avec l'objectif », explique-t-il.

Grâce à la stabilisation d'image intégrée (SI) innovante de l'appareil Canon EOS R6 offrant jusqu'à 8 vitesses¹, Javier a pu filmer des vidéos à main levée parfaitement fluides.

Il a testé le stabilisateur d'image en utilisant deux appareils photo, un dans chaque main, chacun équipé d'un objectif stabilisé, l'un avec le stabilisateur d'image allumé et l'autre avec le stabilisateur d'image éteint. « Je me déplaçais en tenant les appareils et c'était impressionnant », déclare-t-il. « La stabilisation est très efficace. »

En arrivant à Segesta alors que la nuit était déjà tombée, il fallait exploiter au maximum les capacités en basse lumière de l'appareil photo. Javier a associé l'appareil Canon EOS R6 à des objectifs RF à ouverture rapide, Canon RF 50mm F1.2L USM, Canon RF 85mm F1.2L USM et Canon RF 24-70mm F2.8L IS USM, afin d'obtenir le maximum de lumière possible sur le capteur plein format 20 millions de pixels.

« Je n'avais pas la super lune que je souhaitais, mais les trois quarts de la lune et les lumières de la ville. J'ai utilisé des ISO élevés (ISO64000 et ISO32000) et cela a bien fonctionné. J'ai obtenu des couleurs impressionnantes et une plage dynamique élevée. »

À l'origine photographe de mode se consacrant exclusivement aux photos, Javier est devenu célèbre grâce à ses travaux sur des photos et des vidéos et est régulièrement chargé de réaliser des tâches éditoriales et commerciales. Disposer d'un appareil hybride flexible qui peut basculer entre les deux sur simple pression d'un bouton était un atout particulièrement appréciable. « Pour chaque prise de vue, je m'équipe de mon appareil photo et de ma caméra cinéma, mais dans cette situation j'ai pu continuer à filmer avec le même appareil », explique-t-il. « C'est vraiment magique. »

L'écran tactile orientable haute résolution de l'appareil Canon EOS R6 lui a permis d'immortaliser les scènes sous tous les angles. « Je suis toujours à terre ou en appui sur les murs pour prendre des photos », explique Javier. « Grâce à cet appareil photo, je peux, sans avoir besoin d'une grande échelle, placer l'appareil photo au-dessus de ma tête, incliner l'écran et voir l'image. »

Javier a principalement tourné en 4K 50p, sa fréquence d'images privilégiée pour la mode. « Au début, mes prises de vues étaient à 25p, car la vitesse et la lumière disponible me préoccupaient, mais après avoir constaté qu'il n'y avait pas beaucoup de grain, j'ai commencé à tourner au ralenti », raconte-t-il. « Quand il y a eu du mouvement et que les vêtements des danseurs ondulaient, je voulais les capturer au ralenti pour pouvoir travailler cet aspect lors du montage. »

La prise de vue dans Canon Log est un incontournable pour Javier, qui a été particulièrement impressionné par l'étendue de la gamme dynamique de l'appareil Canon EOS R6. « Canon Log est vraiment de qualité : vous disposez de nombreuses informations et couleurs dans les zones claires comme dans les zones sombres », précise-t-il. « Le style de la vidéo est plus proche de la série cinéma EOS C300 que d'un appareil photo qui prend des photos. Ce Canon Log ressemble à l'appareil Canon EOS C300 Mark II ».

Pour la dernière scène du film de Javier, il a tourné sous les lumières emblématiques du Teatro Massimo de Palerme, le plus grand opéra d'Italie. Il s'agit de la toile de fond de la scène finale dans Le Parrain 3. Cela faisait longtemps que Javier souhaitait se rendre à cet endroit pour filmer. « C'est l'apothéose de la vidéo : l'endroit où les deux danseurs se rencontrent », raconte-t-il. « Je voulais montrer comment ils se déplacent, ce qu'ils ressentent et le contraste de l'espace.

« L'un de mes principaux objectifs pour n'importe quelle production, qu'il s'agisse d'un projet personnel ou d'un film de mode, est de filmer en toute liberté et d'essayer quelque chose de différent, d'aller vers ce que je n'ai pas l'habitude de faire. Les lieux et la lumière de Palerme étaient magnifiques. C'était un voyage incroyable et je pense que cela se ressent dans la vidéo. »